dimanche 16 mars 2008

Recette de cuisine

- Faîtes revenir quelques gousses d'ail et du persil alignés d'un long jet d'huile d'olive vierge extra (le gras conservé d'un confit de canard fera aussi bien l'affaire).
- Saupoudrez de piment rouge, doux ou piquant selon préférence.
- Versez l'ensemble du billet visionnaire intitulé "Mars 2012" dans la poêle.
- Accompagnez de pommes de terres à l'eau coupées en rondelles.
- Mangez chaud.


Fin de la recette: "Pronostics complètement erronés à la galicienne". En effet, contrairement à mes prévisions, il n'y a pas de succession à Rajoy: c'est lui qui reconduira le PP aux élections de 2012.



Au moins moi j'ai de la chance: j'ai eu la possibilité de cuisiner un peu mon billet. Par contre pour Mathieu, ça va être plus difficile pour avaler ses chaussures :-D

samedi 15 mars 2008

Partis, résultats et vidéos

> INFO

Une semaine après les élections, voici une présentation par eux mêmes des partis qui siègeront dorénavant au Parlement. Il s'agit des vidéos de la campagne officielle, dénichés sur le site de la télévision publique par une amie professeur. Entre parenthèses, le nombre définitif de députés, et la variation par rapport à 2004.

PSOE (169 ; +5)

Le message des trois spots est simple : l'essentiel c'est de voter, même pour l'adversaire.


PP (154 ; +6)

Là aussi, un message unique : l'économie va mal. Notez au passage la particulière prononciation des 's' par Mariano Rajoy ("écho èche chou bida").

CiU (10 ; =)

Pour que la Catalogne soit respectée.

PNV (6 ; -1)

En gros : le Pays Basque est riche, c'est grâce au PNV.

ERC (3 ; -5)

Les indépendantistes catalans sont nominés au prix du spot le moins cher.

IU (2 ; -3)

"Plus de gauche" (mais moins de députés) avec Izquierda Unida, qui met en scène au moins quatre personnages a priori éloignés de son électorat : un militaire (qui ne veut pas faire la guerre), une DRH (qui en a assez de faire signer des contrats poubelle), un curé (qui ne veut pas imposer sa définition de la famille) et un jeune homme de style pijo (bourgeois pas bohème). Observez le drapeau républicain tenu par un garçon né sous le règne de Juan Carlos.

Quatre autres partis n'auront pas de groupe parlementaire propre : les Galiciens du BNG (2 ; =), les Canariens de CC (2 ; -1), les Navarrais de Na-Bai (1 ; =) et les centristes d'UPD (1 ; +1).

Relevons la nouveauté: Unión Progreso y Democracia (UPD).

Son unique représentante au Parlement, Rosa Díez, est cordialement haïe des militants socialistes. Elle a récemment quitté le PSOE -mais pas son siège au Parlement de Strasbourg- pour critiquer Zapatero et monter un parti caractérisé par un centrisme affiché et un antinationalisme (périférique) de fait. Le petit rectangle de plastique de la vidéo est le DNI, la carte d'identité espagnole, "ce qui nous unit".

Disparaissent de l'hémicycle les nationalistes basque EA, canarien NC et aragon CHA. Si vous êtes perdu, Greg vous ressitue.

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lundi 10 mars 2008

La science des résultats

> AUTOUR DE L'URNE

Il y a résultats et résultats: entre les 5 pages de colonnes de chiffres circonscription par circonscription qu'offrent les journaux traditionnels et le fruit de savantes combinaisons d'ajax, html, xml,... y a pas photo. Ou plutôt si: y a beaucoup de couleur.

Voici 3 des nouveautés à mon sens les plus intéressantes pour suivre (hier soir) ou consulter (aujourd'hui) les résultats de ces élections:

1º - Carte électorale vía Google Maps (Auteurs: youchoose - programmeurs indépendants).



2º - Widget Résultats électoraux (Auteurs: Soitu.es - journal numérique)



3º - Twitter Élections générales 2008 (Auteurs: ADN.es - journal numérique)

dimanche 9 mars 2008

Résultats : Zapatero et le PSOE gagnent les élections, le PP et le bipartisme se renforcent

> INFO

Pourquoi mettre un nègre :-D derrière un clavier pour publier des numéros quand un programme peut parfaitement (mieux) faire le même travail? Voila, je vous présente Widget resultados elecciones 2008 v.1.2 de Soitu.es et moi, je vais mettre mon Sauternes au frais ;-)

Participation à 18h00: -2 points

> INFO

Aussi de source officielle: 61% de participation à 18h00. De nouveau un chiffre légèrement inférieur à 2004 (63,02%). C'est donc maintenant plus de 20 millions des très exactement 33.867.078 recensés qui sont déjà passés par les urnes.

Si l'on se souvient que la participation - record - en 2004 avait été de 75,66%, on peut donc s'attendre à un résultat proche des 75% pour celles-ci.


Et toujours à votre service, sachez que la participation en France aux élections municipales à 17h00 était de 56,25%. C'est de nouveau Michèle qui me l'a raconté ;-)

Bien sûr, il y a toujours des élections cantonales en France et au Sénat en Espagne mais comme tout le monde continue à s'en foutre.....

Participation à 14h00: -0,5 points

> INFO

De source officielle: 40,5% de participation à 14h00, soit 0,5% (absolu) de moins qu'en 2004.
Plus de chiffres? Cela signifie que représente un peu plus de 3,2 millions d'électeurs sont allés voter pour l'instant soit un 9,5% (*) 13,5 des presque 34 millions (re)censés... voter aujourd'hui ;-)

Ne soyons pas égoïstes: j'en profite pour vous annoncer qu'à 12h00, la participation en France aux élections municipales étaient de 23%. C'est votre intérieur qui me l'a dit ;-)

Bien sûr, il y a aussi des élections cantonales en France et au Sénat en Espagne mais comme tout le monde s'en fout.....

(*) c'est ce qu'il se passe quand on confie l'info à un non professionnel: y a d'abord beaucoup de conneries, et après pas mal de ratures :-D

And the winner is....

> INTOX

Rodolfo Chikilicuatre!

C'est lui qui a gagné les élections célébrées hier soir en direct (La 1) pour représenter l'Espagne au prochain concours Eurovision :-D

La France peut commencer à se retrousser les manches si elle ne veut pas passer sa soirée à écouter: Spain, ten points, l'Espagne, dix points :-P

Voici l'artiste:

Friki? Quelqu'un a dit "Friki"? ;-)

samedi 8 mars 2008

Le dernier sondage illégal

> INFO

Les Français s'en souviennent : en 2007, les sondages illégaux en France étaient disponibles sur les sites des journaux belges et suisses, entre autres. En 2008 en Espagne, c'est El Periódico de Catalunya qui joue avec la législation encadrant les élections. Usant et abusant de son édition en Andorre, El Periódico publie sur son site andorran les résultats de sondages interdits en Espagne, et l'indique sur son site et dans ses pages espagnols.

Ce blog est hébergé par un fournisseur étasunien et est destiné à un public francophone. Je n'ai donc aucune raison de cacher l'adresse cette enquête. Quant aux Espagnols, ils sont déjà au courant de son existence. Je ne commettrai pas non plus l'hypocrisie de délivrer le lien au détour d'un long article autour des réactions sur la décision de El Periódico.

Le sondage interdit de publication en Espagne est là [es]
, la dernière vague sera livrée ce samedi à 23h30. Vous le savez, faites en ce que vous voulez.

Émotion et raisonnement

> ANALYSE

Sandra Carrasco est la fille aînée de l'ex conseiller municipal assassiné vendredi par l'ETA. Ce matin elle a eu la force de lire le communiqué de sa famille : portrait d'un militant courageux, rage contre les assassins ("lâches", "sans couilles" et "fils de pute"), mobilisation aux urnes et appel aux partis à ne pas récupérer la mort de son père.



Après l'émotion, reste une question : "À qui profitera le crime?". Il est entendu que le bénéficiaire collatéral, PSOE ou PP, n'aura rien à voir avec l'unique coupable, l'ETA, dont la responsabilité est plus évidente encore après la définition lunaire du meurtre ("une preuve de la recrudescence du conflit politique et armé" [es]) par Batasuna, sa vitrine illégale.

Tous les journalistes, espagnols et envoyés spéciaux, se posent cette question entre eux. Les têtes de listes fuient le tabou face aux caméras pendant que leurs équipes font leurs calculs dans la discrétion de les QG des partis politiques. Les autres citoyens discutent plus naturellement. Si vous trouvez la réflexion trop cynique, ne poursuivez pas votre lecture.

Voici quelques éléments à prendre en compte :

1) Il est probable que davantage d'électeurs aillent voter. Tous les partis l'ont demandé, Sandra aussi; mais surtout, l'ETA a demandé au contraire de s'abstenir. La réaction démocratique tripale devrait donc être de levantarse del sofá, de "se lever du canapé" pour aller jusqu'au collège électoral.
--> Lors des deux dernières élections générales, l'abstention a bénéficié au PP et la participation au PSOE. Depuis, beaucoup d'analystes considèrent que c'est une règle de fonctionnement. Parmi eux, les socialistes, qui font tout pour mobiliser en masse, et les populaires, qui freinent des quatre fers et le confessent à la presse internationale [en].
--> Mais nous avons déjà vu que la réalité historique était plus complexe, et que lorsque l'abstentionniste sort de sa torpeur, il a tendance a voter contre le gouvernement en place. En 2004, les abstentionnistes repentis ont contredit toutes les prédictions, et empêché, après un attentat -de tout autres dimensions- la reconduction du parti en place, auteur il est vrai d'une communication désastreuse.

2) La tentative de Zapatero d'une "fin dialoguée du terrorisme" n'a pas fonctionné. Tout le monde le savait depuis l'attentat à l'aéroport de Barajas; d'aucuns lui savaient gré d'avoir essayé, certains lui en voulaient d'avoir échoué, d'autres enfin considéraient impardonnable d'avoir "négocié" avec des terroristes.
--> Le dernier assassinat risque de renforcer dans leurs convictions les deux dernières catégories.

3) Isaías Carrasco était militant socialiste. Patxi López, le chef des socialistes basques, l'a répété : "dire que les socialistes trahissent les victimes est profondément injuste".
--> L'appartenance idéologique de la victime peut peut-être contrecarrer l'argument précédent.

Conclusion : les observateurs de la vie politique ne savent absolument pas ce qui va se passer. Mais ils utiliseront quelques uns des arguments résumés au-dessus (et signalés par une -->) pour expliquer a posteriori la victoire du PSOE ou celle du PP.

Si la droite gagne, les analystes ajouteront que les inquiétantes perspectives économiques ont poussé au changement de gouvernement. Si la gauche se maintient, ils expliqueront doctement que l'opinion publique espagnole s'est opposé à l'opposition belligérante de la droite. Je ferai peut-être la même chose, mais au moins, je ne vous prends pas en traître.

Sans parole / Avec voix

> POINT DE VUE
(silencieux, journée de réflexion oblige)
Par Manel Fontdevila

ETA NO!

ETA NO

vendredi 7 mars 2008

Le PP rompt le consensus contre l'attentat

> INFO

17h00: Déclaration institutionnelle [fr] du 1º ministre José Luis Zapatero condamnant l'attentat et promettant que les terroristes seront poursuivis ainsi que ceux qui les aident ou les justifient en allusion aux partis récemment dissous, ANV et PCTV, le premier ayant refusé de condamner l'attentat.




20h10: À la suite de la réunion qu'ont maintenu les dirigeants des principaux partis politiques et syndicats espagnols, le communiqué commun (pas la déclaration) de condamnation de l'attentat commis par l'ETA lu par le secrétaire du PSOE, José Blanco, donne la sensation de consensus et un sentiment d'union "démocrates contre terroristes".




20h18: Ignacio Astarloa, le secrétaire exécutif du PP, reproche aux autres partis de ne pas avoir accepté d'inclure dans le communiqué une clause selon laquelle les partis politique se compromettraient à ne plus jamais négocier avec l'ETA ainsi que la révocation de l'autorisation de négociation donné par le parlement il y a deux ans au gouvernement, exactement la même ritournelle de la campagne électorale du PP.

Zapatero et Rajoy décident à l'unisson de suspendre la campagne électorale

> INFO

Les 2 principaux partis PSOE et PP se sont mis tout de suite d'accord pour suspendre la campagne électorale dû à l'attentat commis la ETA contre l'ex conseiller municipal socialiste Isaías Carrasco à Mondragon.

PNV, IU et UPyD se joignent à l'iniciative. CIU et ERC étudient en ce moment leur décision, il est probable qu'ils tiennent la même conduite.

D'autre part, on attend une réunion de tous les partis politiques ce soir à 19h au parlement espagnol. L'union politique semble de mise malgré le dérapage de Esperanza Aguirre [audio - es] (Presidente de la région de Madrid, PP) qui a profité de l'attentat pour demander à Zapatero de promettre qu'il n'allait plus négocier avec l'ETA.

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Annexe: Partis politiques espagnols: qui est qui?

ETA, attentat contre la démocratie

> INFO

À moins de 48h des élections, ETA vient d'assessiner à 13h30 (GMT + 01:00) à Mondragon (Pays-Basque espagnol) l'ex conseiller municipal socialiste Isaías Carrasco, 42 ans, marié et père de 3 enfants.

Source: El País.
Dépêche par Le Monde.fr

mardi 4 mars 2008

2º débat : Zapatero gagne contre Rajoy par 20 points d'écart

> INFO

Vingt points d'avance pour le candidat socialiste, en tout cas selon les deux chaînes de télévision (Cuatro et La Sexta, toutes deux appartenant à des groupes médiatiques réputés "de gauche") qui pour l'instant ont diffusé leurs sondages.

Sur Cuatro, le président du Gouvernement, le socialiste (PSOE) José Luis Rodríguez Zapatero, gagnait par 50,8% contre 29% pour le leader de la droite espagnole (PP), Mariano Rajoy. Zapatero est considéré vainqueur par chaque tranche d'âge, et pour chacun des sujets débattus.

Sur La Sexta, selon rapporte l'agence Europa Press [es], des résultats quasi identiques ont été annoncés : 49,2% pour "Z", comme l'appellent les génies du marketing, 29,8% pour Rajoy. 21% considère qu'il y eut match nul (je déduis que les "ne se prononce pas" ont été exclus du total). Là aussi, victoire du président sur tous les fronts.

À noter aussi le sondage sans appel diffusé par Cuatro à 23h59, une minute avant l'illégalité de sa publication : 85% des sondés pensent que Zapatero remportera les élections générales de ce dimanche 9 mars, contre 14% pour Rajoy.

Un déséquilibre étonnant pour cette enquête de probabilités, et très éloignés des sondages d'intentions de vote, qui en général accordent au PSOE un avantage que la marge d'erreur rend aléatoire (moins de 4 points d'avance).

Mais 85%, c'est exactement le pourcentage que les parieurs en ligne accordaient à Zapatero il y a quelques jours, toujours selon Europa Press [es]... Et ce n'est pas très loin non plus des 77% qu'affiche actuellement l'enquête hautement scientifique de la colonne de gauche de ce blog.

Quant au débat lui même, on retiendra qu'il a au moins permis aux candidats de formuler quelques propositions, de parler un minimum de leurs programmes.

Croissance économique ("l'économie, c'est tout"), éducation ("le professeur va a l'école pour y enseigner, l'élève pour y apprendre"), fermeté sur l'immigration (expulsions des sans papiers et des étrangers délinquants), entre autres sujets, pour Rajoy.

Politiques sociales (augmentations du SMIC à 800 euros, des retraites...), créations d'emplois (2 millions, dont 1.200.000 féminins), surveillance des prix (par un institut d'inspiration française), ou encore européisme et pacifisme (appui de la légalité internationale et participation aux missions de paix de l'ONU), par exemple, du côté de Zapatero.

Et puis le même final étrange que lors du premier débat : Zapatero regarde le téléspectateur dans les yeux, et de temps en temps ses papiers. Il s'attarde sur son bilan et dit qu'il reste tant de progrès à accomplir... Il termine son intervention par un "buenas noches y buena suerte". Nouveauté : José Luis comprend sa plaisanterie et sourit entre "bonne nuit" et "bonne chance".

Rajoy lit le prompteur et confie qu'il pense à "une petite fille" qui doit vivre heureuse dans une jolie maison grâce à ses parents qui ont tous les deux un emploi (en gros). Nouveauté : cette fois ci, "cette petite fille est dans la tête et dans le coeur" de Mariano.

La journaliste conclut sur une vacherie pour Rajoy, qui refusa de participer au débat en 2004 (de même qu'Aznar en 1996 et en 2000) : "espérons que nous n'attendions pas 15 ans jusqu'au prochain débat".

lundi 3 mars 2008

Ouverture de la chasse au con

> POINT DE VUE

La chasse au con a ouvert officiellement vendredi 22 Février en Espagne. Quoique cette année il semble qu'elle ait été avancée de quelques jours à moins que cela eut été de flagrants cas de braconnages ou simplement des exercices de précampagne qui visaientt à rassembler les cons autour d'un point convenu pour mieux les ramasser ensuite dès l'ouverture officielle de la campagne de chasse au con, aussi appelée "Campagne... électorale".

Au contraire des autres types de chasse où la discrétion est de mise, dans la chasse au con, plus on fait de bruit voire même de tapage, plus on a de chances de faire mouche. Les appâts sont énormes de telle façon que seul un vrai con - et non pas un pauv'con :-) - puisse s'y laisser prendre: cela va de la réduction d'impôts au chèque bébé (2.500 € pour chaque naissance ou adoption) en passant par les offres gratuites.

Dans le domaine du gratuit, les offres varient en fonction du terrain de chasse:
  • Pour la chasse au con-necté, on leur offrira de l'ADSL plein de megasbytes pas cher, du Wifi gratos en rase campagne et l'abolition pure et dure du canon digital (taxe sur tous les appareils avec mémoire, integralement reversée a la SACEM espagnole = $GA€) accompagnée d'un PeuImporteParQuoiOnLeRemplacera.
  • Les con-somateurs sont appatés avec de vraies offres à la con - bien sûr - style: logements moins chers + baisse des taux d'intérêt + baisse de l'inflation + hausse des salaires + baisse des impôts. Et si vous répondez qu'il suffit d'avoir étudié lu seulement les trois premiers chapitres de ses cours d'économie de première pour se rendre compte que cela est absolument impossible, c'est évidemment que vous êtes un traître du parti contraire.
  • Aux plus con-servateurs, on leur a promis des tas de mesures visant à les rassurer: par exemple, le mariage homosexuel ne s'appelera plus mariage [es]. Certains (COPE = Radio de l'église catholique) ont même aussi essayé de leur promettre que les homosexuels ne seraient plus homosexuels; no coment, même si ce serait cependant intéressant que certains essaient de ne pas con-fondre "essayer de préserver son confort" avec "demeurer fort con".
  • Les inclassables:
    • C'est hallucinant tout ce que ces con-génères :-D
    • On attend d'ici peu un arrivage d'appâts pour les con-stipés. En effet, Dragées Fuca a décidé de sponsoriser le PP :-P
    • Il semblerait que certains électeurs se fassent piéger tout en étant conscients des techniques de chasse: "Monsieur, si je suis con-vaincu de voter pour vous, c'est tout simplement parce que vous êtes très vraiment très con....... vainquant"
    • Chers lecteurs, je compte sur votre imagination pour com-pléter ce billet: j'incorporerai, au fur et à mesure qu'elles me plaisent, vos propositions et con-seils que vous pouvez me laisser dans les commentaires ;-)
Et bien sûr: une fois terminée la chasse, une fois que vous aurez fini dans la besace d'un des braqueurs de voix, vous vous rendrez compte que les promesses ne sont pas tenues. C'est alors que vous direz: Monsieur, m'avez-vous pris pour un con?
Ne vous étonnez surtout pas de la réponse... ;-)